j'avoue que c'est bon de se barrer à la mer où à la campagne

quand tu ressens le besoin, quand ta envie de verdure t'accompagne

nouvelles couleurs, nouvelles odeurs, sa rend les sens euphoriques

respirer un air meilleur sa change de mon péripherique

est ce que ta déja ecouté le bruit du vent dans la forêt

est que tu as déja marché pied nus dans l'herbe haute

mais la nature nourit l'homme et rien que pour cela faut qu'on l'estime

donc la nature je la respecte, mais tout sauf mon quotidien, j'appartiens à un autre univers 

si la campagne est côté face, je suis du côté pile 

là où les apparts s'empilent, je suis de la ville

j'entends les sirènes qui resonnent mais est ce vraiment un crime

d'aimer les mumures de la rue et l'odeur de l'essence

femme du bruit, je fuis la foule quand sa grouille, j'aime néanmoins les rires et les cris

j'ecris mon envie de croiser du mouvement et des visages

le bitume est un skateur où tous les passant se mélangent

je ne dis pas que le béton c'est beau, je dis que le béton c'est brut

ca sent le vrai, l'authenthique, peut être que c'est ca le truc

quand on le regarde dans les yeux, on voit bien que s'y refletent nos vies

difficile de traduire ce caractère d'urgence

qui se dégage et qu'on vit comme une accoutumance

besoin de cette agitation qui nous est bien familière

pourtant j'ai bien conscience qu'il faut etre taré

pour aimer dormir coincé dans 35 mètres carrés

mais j'ai des expliquations, y'a toute ma vie dans ce bordel

et face à cette folie, j'embarque mon futur à bord d'elle

c'est beau une ville la nuit, c'est chaud une ville le jour

moi dans toute cette cohue je promène ma malchance

je me ballade au ralentie et je souris à la chance

d'être ce que je suis, de devenir sereine, d'eviter les coups de surin

d'être sur un ou deux bon coups pour pas que demain sente le purin

femme de la ville donc un fruit de mon époque

je vois des styles qui défilent, avec les poches pleines d'espoir

c'est quoi, c'est qui, ces nanas cheloues qui viennent pour juger ma vie

c'est elle, c'est moi, mais j'espere que tu viendras lire un petit bout, p't-etre bien que ten sortira ravie

et ca c'est important pour moi, c'est grace encore à ca que je me sens encore en vie

toutes ses attaques un peu surprise,c'est un attentat verbal, on a faim de se faire entendre, moi je n'ai pas cet appetit cannibal

certains diront que c'est naze et d'autres que c'est franchement de la balle, quoi qui'il se passe je poursuivrais mais croit pas que ton avis m'es égal.

prête à te proposer un intermede vocal et amical

si je vois de l'ecoute dans tes yeux, je voudrais te dire merçi

on prend la parole à l'apero et on la prend au dessert

on est solide comme de la brique et fragile comme du cristal

les mots ne sont alliés, on les aime comme maitre capello

puis on les laissent s'envoler en musique ou a capella

et comme des flèches ils tracent, lancés par nos cordes vocales

puis on les entend résonner comme une bombe dans un bocal

on arrive comme un accident dans des endroits insolites

et meme si tu te sens à l'abris, il faut jamais que tu t'emballes

tu peux subir à tout moment, un attentat verbal

bonsoir ma puce

sensuelle est belle,

je veux te raconter

une histoire insensée

d'une fille qui t'aimait

oui c'est bien une fille!!

elle t'aime en silence!

elle plaignait ton absence!

elle ne pensait qu'as toi

elle n'entendait que ta voix...

tu ne sais pas ce qu'elle ressent

t'ignorais tout ce qu'elle avait au fond

elle passait tout son temps à te contempler

ses yeux baignées de larmes

son coeur dechiré de larmes

elle se contente de te regarder

et sourire tristement après

a chaque fois que tu te connecté son coeur précaire palpitait

criant des milliers de "je t'aime"

personne ne l'a entendu

tout le monde la jugée!

pour la blâmer et lui cracher dessus

mais jolie demoiselle

sensuelle et belle!

celle qui t'aima se sucida!

elle aurait bien voulu être la

toujours joyeuse prêt de toi!

je suis vraiment désolée

mais elle n'a pas pu continuer

elle est morte à force de trop crier

de vociférer qu'elle est innocente!

que malgrès elle, elle est différente!

mais avant de fermer les yeux

avant de visiter les cieux

elle aurait voulu te dire

tout doucement, en lyre

ce "je t'aime"

non je pleure pas

jeune demoiselle

ils n'ont rien compris

ne te culpabilise pas

tout est finis

elle n'est plus là

elle est partie...

c'est réaprendre à voir, à sourire, à aimer

c'est lui dire simplement bonjour

quand tu aurais envie de l'embrasser

c'est regarder par la fenêtre

et attendre celle qui ne viendra pas

un chagrin d'amour

c'est le dernier rendez-vous qui t'as semblé

si merveilleux

c'est des étoiles qui reflétaient dans tes yeux

c'est un beau clair de lune que tu ne voudrais pas voir

c'est vouloir mais ne jamais pouvoir

un chagrin d'amour

c'est pleurer en écoutant la chanson qu'elle fredonnait

c'est l'aimer malgré tout le mal qui c'est passé c'est de faire semblant que la vie continue

c'est chercher l'amour là où il n'y en a plus

un chagrin d'amour

c'est de ne plus être capable de regarder des amoureux

c'estd e rire avec les larmes aux yeux

c'est l'indifférence qui s'installe en toi

c'est se surprendre à l'attendre comme autrefois

un chagrin d'amour

c'est la regarder sas pouvoir la toucher

c'est rever la nuit sans jamais exisiter

c'est un roman qu'on a déjà lu

c'est un soleil qui ne chauffera plus

un chagrin d'amour

c'est quand tu t'aperçois qu'une autre a pris ta place dans

son coeur

c'est une église vide en silence tu pleures

c'est une question en sachant toujours la réponse

c'est combattre même si parfois tu rennonces...

ba voila un chagrin d'amour c'est tout ca...

Souffrance

je suis entrée, je veux sortir,

partir que plutôt dépérir,

m'éloigner de cette souffrance,

ce monde où je n'ai pas de chance,

je n'ai nul part où aller

je n'ai plus ma place à tes côtés,

plutôt que de miroiter,

je préfere donc tous t'abondonner...

pourtant croit moi j'ai espéré,

A chaque journée j'en ai pleuré,

tu m'oblige à le regretter,

maintenant que tu m'as jeté...