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anéantie
17/03/2006 13:18
tu vie une souffrance qui chaque jours évolue.....................
tu te dis "merde à chaque pleurs....
toi l'être que j'aime
noyer dans te pensées noir
en te voyant manipuler dans ce monde virtuel, j'ai le coeur rempli de haine
envers c'elles qui sont la cause de temps de chagrin
je ne sais si je pourai sortir de cette souffrance interminable
alors tu te demande si le sucide ne serai pas une delivrance envers ton âme noir de haine
Commentaire de moi même (17/03/2006 21:31) :
Tu m'as l'air bien malheureuse, faut relever la tête fuir ne sert
rien, sauf laisser paraitre des faiblesses.
Qui manipule qui là est la question!!!
Bon courage
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mon bébé
08/01/2006 22:44
Au coeur des sentiments
Comment donner aux mots, l'ampleur des sentiments, Glisser dans nos propos tout ce que l'on ressent. Rien de plus difficile que de dire que l'on aime, Que l'on est plus qu'argile quand le cœur est bohême.
J'ai plongé mon regard dans tes yeux bleus argent, En cherchant au hasard un sourire intrigant. Je ne connaissais pas, ni ton corps ni ta voix, Mais je t'attendais là, sans trop savoir pourquoi.
Et tu es arrivée dans ma vie doucement, Au nom de l'amitié tu m'as donnée du temps. J'ai appris à connaître tes désirs tes tourments, Et mon cœur sans paraître a cogné autrement.
J'ai senti cet élan qui m'entraînait vers toi, Ce si doux serrement qui attise l'émoi. J'ai voulu résister sans le vouloir vraiment, Mon âme a chaviré et mis mon cœur à sang.
Tu as grandi ma vie et chassé mes malheurs, J'ai déserté mes cris, abandonné ma peur. J'ai vu briller mes yeux d'une toute autre lueur, Puis dessiné mes lèvres en bien d'autres couleurs.
Et quand dans le matin, lentement je m'éveille, Et que je sens tes mains, tout ton corps qui m'appellent, S'ouvre ma chrysalide, effaçant mes revers, Les souvenirs acides, et les instants déserts.
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mon jardin
08/01/2006 22:21
Si tu viens dans mon jardin Surtout, ne dis rien. La robe pourpre de l'orchidée Fragile reste fermée.
Attends pour la cueillir, Cette fleur veut s'épanouir. Viens, à petits pas, Approche-toi.
Respire son parfum subtil Vois sa robe gracile. Ne la touche pas, Trop vite, elle s'étiolera.
Tes yeux glissent une caresse. Ressens-tu cette ivresse? Son effluve envoûtante Parfume toute la sente.
Ouvre la porte de mon coeur, Cueille de tes baisers, la fleur. Je t'offre une gerbe de caresses, Au jardin secret de ma tendresse.
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un jour
08/01/2006 20:31
Usé par les hommes Par le bruit qui rend fou Usé par la vie Par les hurlements Usé par le silence Usé par le vent Usé par l'oubli On oublie pourtant Qu'un jour on s'est aimé, Qu'un jour on a vécu, Que la vie est passée, Que le passé n'est plus Qu'un jour on s'est aimé Que ce jour n'est plus Qu'une postérité Noyée dans l'inconnu
Usé par un monde Qu'on ne comprends plus Qu'on a jamais compris Mais qu'il continue A tourner encore A tourner toujours plus A faire tourner la tête A nos âmes perdues A nos cœurs qui appellent Et hurlent au secours Mais non y a plus de ciel Et non, y a plus d'amour Et plus que des troupeaux Des vendus, des vautours Des vendeurs de merveilles Des joueurs de tambours
Usé par l'avenir Usé par un meilleur Qui ressemble au pire Et oui, ça fait mal au coeur ! Usé par l'ironie Qui tua ma jeunesse Usé par la comédie Usé par les promesses Usé par la folie Usé par le dégoût Usé d'être incompris De marcher à genou Usé par l'usure Usé par les regrets D'avoir fui l'aventure D'avoir fui la beauté Te voilà qui revient Te voilà toi mon frère Qui me dit prends ma main Marchons vers la lumière
Et le coeur plein d'espoir Et le coeur infini On oublie qu'il fait noir Alors enfin on vit Et loin de leur tambours Et loin de l'inhumain On redevient fou à chaque matin Un jour on s'est aimé Et ce jour c'est demain Un jour d'humanité Un jour de gloire Un jour on s'est aimé Et ce jour c'est demain Un jour d'humanité Un jour d'humain
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